La médina de Fès, fondée vers 800, est un des plus beau exemples vivant du Moyen-Age musulman. Un enchevêtrement de ruelles inextricables, des couleurs vives et chaudes, des ânes qui servent de moyen de transport, de la nourriture de rue qui fait frémir les narines à tous les coins de rue, des quartiers de corporations, de la vie du matin au soir, des jeunes hommes qui proposent gentiment “des herbes pour la tête”, les vestiges de palais magnifique, tout cela nous transporte dans un ailleurs, qui vit pourtant bien au rythme d’aujourd’hui.
Les ruelles
Par rapport à Marrakech (https://www.osaillard.com/blog/marrakech-en-48-heures), l’expérience est plus brute, un peu moins touristique. Ce qui ne veut pas dire moins rude, et je n’ai pas échappé aux remontrances et autres insultes. Ici, on est dans le Nord du Maroc, beaucoup de gens parlent espagnol, ce qui rajoute une petite variété à ces dernières. Mais on croise bien plus de gens ravis de parler et de passer du temps à discuter avec nous, autour d’un thé à la menthe ou lors d’un repas partagé dans une cantine populaire.
Les photos ci-dessous proviennent des Médina de Fès et de Meknès, de Fès-el-Jedid, extension du XIIIe siècle de Fès-el-Bali, et de Moulay-Idriss, petit village perché dans les hauteurs au-dessus de Volubilis.
Ces rues étroites et sinueuses sont tout autant des mosaïques de couleurs frappantes que des lieux où l’ombre est puissante, et sont avant tout un véritable bonheur à photographier.
Les tanneries de Fès
A la fois piège à touriste et activité majeure de la ville, ma perception des tanneries de Fès est peu claire. Même en essayant d’y passer du temps, il m’a été dur de percevoir le rapport que peuvent avoir les gens avec les touristes et les photographies, et quelle part de leur revenu peut en provenir. Avec ces photos, j’aurais voulu raconter des choses importantes et vraies, mais je n’ai qu’effleuré la superficialité de cet endroit qui attire autant. C’est une frustration forte.
Néanmoins, la rudesse du travail contraste aisément avec la poésie colorée des lieux.
Ezio et Virginie, un mariage à Langres, au domaine de Montmouton et à la ferme Sainte-Anne
Comment commencer cet article sur le mariage d’Ezio et Virginie ? Il est ainsi des mariages, des couples, des histoires, qui ne peuvent que marquer durablement.
Ce mariage m’aura touché, marqué, et influencé. Les deux journées de mariage auront été belles, fortes, pleines d’émotions. Connaître en amont l’histoire du couple m’aura permis de prendre en compte l’importance des détails, des relations, des mots qui auraient pu passer inaperçus, mais qui comptent fort pour le couple. C’est pour cette raison que je prends le temps de rencontrer et de discuter en profondeur avec mes futurs mariés.
La première de ces deux journées de mariage -année 2020 oblige, c’est le 6 Juin. Le premier confinement vient de s’achever, les premiers mariages peuvent reprendre, avec des jauges limitées. Jusqu’à la dernière semaine, la tenue du mariage était incertaine : mais une fois la mairie validée, c’est sûr, Ezio et Virginie se marieront bien ce jour là, même si la fête se fera plus tard.
La journée débute par le coiffeur pour Virginie et sa fille, puis retour chez les mariés, pour un peu de temps chez eux avant de partir au salon d’esthétique. Cet « entre-moment » me permet de m’attarder sur des moments de vie tout aussi importants de l’histoire : les enfants qui jouent, et qui s’impatientent. Après le passage dans les mains expertes de la maquilleuse, Virginie s’habille, sous le regard plein d’émerveillement et d’amour de sa fille.
Je la suis ensuite jusqu’à la mairie de Langres, où elle retrouve ses proches, puis pourra accueillir son bien aimé sous un sourire radieux !
Une fois le mariage civil célébré par un ami qui avait pensé au moindre détail, et les traditionnelles photos de groupe réalisées devant la belle mairie de Langres, ce sera direction le domaine de MontMouton à Laferté-sur-Amance, où leurs amis Davide et Alexander ont aménagé le charmant gîte pour pouvoir leur offrir une petite mais charmante réception.
Les photos du mariage civil à Langres
La fête et le mariage à la ferme Sainte-Anne
Quelques semaines plus tard, je retrouve donc Ezio et Virginie pour la deuxième partie de leur mariage. Je suis cette fois les préparatifs d’Ezio, puis nous profitons du temps devant nous pour effectuer une séance couple dans les rues et sur les remparts de Langres. Et en milieu d’après-midi, direction la Ferme Sainte-Anne pour la réception et la fête !
Ce charmant gîte en contrebas de Langres est un lieu vraiment génial pour célébrer son mariage, à la fois proche de la ville et parfaitement isolé en pleine campagne, beaucoup d’espaces vertes, une superbe salle voutée, et surtout la vue imprenable sur la citadelle lingonne.
Pendant le vin d’honneur, la cérémonie laïque, courte mais pleine d’émotions, organisée en surprise par leurs témoins font fondre les larmes de tous, photographes inclus. Des invités ont bien essayé d’accuser le pollen pour leurs yeux humides, mais personne ne les a cru, évidemment.
Deuxième surprise, la chanson composée et interprétée par la famille Bardin pour l’occasion – vous retrouverez la chanson dans la vidéo ci-dessous.
Peu après, la soirée commence et est animée par de magnifiques discours des mariés et de leurs enfants -nouveaux pleurs-, d’animations, d’une nouvelle chanson par Jeanne et les frères d’Ezio. La soirée dansante débute alors dans la salle voutée de la Ferme Sainte-Anne, pour une nuit pleine d’énergie, de joie et de bonheur !
J’ai été accompagné sur ce mariage par Mathilde Girardot, merci beaucoup à elle !
Les photographies du mariage à la Ferme Saint-Anne
Les prestataires du mariage à la Ferme Sainte-Anne
Si vous vous mariez bientôt, à la Ferme Sainte-Anne, à Langres, en Haute-Marne, en France ou ailleurs, et que vous voulez en savoir plus sur mes photographies de mariage, cliquez ici : www.osaillard.com.
Anne-Claire et Nicolas tiennent l’Auberge des Tilleuls, à Messigny-et-Vantoux, juste au Nord de Dijon. Le 28 Juillet 2019, ils se sont dit oui pour la vie.
Après s’être rendu la veille à leur mairie d’Hauteville-les-Dijon, c’est au magnifique Château de Brognon, en périphérie Dijonnaise que leur beau mariage s’est déroulé, après une cérémonie religieuse à l’Église d’Ahuy.
Naturellement, pour ces deux amoureux qui partagent la passion de la restauration, le repas de leur mariage allait leur tenir à cœur, et je peux vous dire qu’on s’est effectivement régalé, du buffet de fruits de mer jusqu’au dessert proposés par Fabrice Gillotte, chocolatier Meilleur Ouvrier de France ! Si vous passez au centre-ville de Dijon, pensez à aller déguster un bon chocolat chez lui.
J’ai suivi toute leur journée, des préparatifs d’Anne-Claire chez elle et de Nicolas au Château de Brognon jusqu’à … tard dans la soirée, où la soirée était encore endiablée !
Le Château, tout proche de Dijon, est un superbe cadre pour un mariage, avec son grand parc, ses magnifiques pièces intérieures – au rez de chaussée et dans les caves !-, ses superbes logements, et son ambiance élégante.
C’était un plaisir d’être le photographe de leur mariage au Château de Brognon, et de pouvoir vivre cette journée avec eux et leurs supers témoins -très rock and roll !
Si, vous souhaitez bientôt vous marier, à Dijon, en Bourgogne, en France ou à l’étranger, que vous voulez en savoir plus sur mes photographies de mariage, cliquez ici : www.osaillard.com
Les photographies du mariage au Château de Brognon
Les prestataires du mariage au Château de Brognon :
Un mariage à Rueil-Malmaison, en formation avec Franck Boutonnet
Je me forme régulièrement pour être et devenir le photographe de mariage que je veux être. Cela prend plusieurs formes : je lis beaucoup de livres techniques mais également beaucoup de livres de belles photographies (j’en parlerai bientôt), je regarde des formations vidéos, je pratique, je teste, et je participe régulièrement à des formations en présentiel.
Parmi celles-ci, il y a notamment les Workshops avec des photographes de renom. Ce sont des stages de plusieurs journées où un photographe expose sa vision du travail, ses méthodes, et nous coache pour nous faire progresser.
Il y a quelques années, quand je commençais à m’intéresser à la photographie de mariage et que je me posais la question d’en faire mon métier, je suis tombé sur Fearless. C’est un concours régulier qui prime des photographies de mariages exceptionnelles (plus de 10 000 photos concourent à chaque entrée !). Je suis immédiatement subjugué par ces photos : oui, on peut faire des photos dingues à un mariage !
Je pense que c’est à ce moment que j’ai eu la certitude d’en faire mon métier (et qu’est-ce que j’ai bien fait !). A ce moment là, en France, c’est Franck Boutonnet qui truste la première place. Je deviens fan, et je suis depuis son travail et ses (nombreuses) récompenses.
C’est donc avec beaucoup d’impatience que j’ai suivi son Workshop organisé par Eyes in Progress à Paris en Octobre 2019. Un peu d’appréhension aussi, mes confrères m’ayant averti de l’intensité de Franck pendant la formation.
On passe alors 5 jours ensembles, avec 6 autres photographes venus suivre la formation à Paris : Corinne, Marion, Olivier, Yvan, ainsi que Ana qui est lituanienne, et Jodie, australienne !
La fine équipe. Photo Sabrina Budon – Olivier Bolte
Franck, avant d’être un photographe de mariage très régulièrement en haut des classements des dix dernières années, est un photojournaliste. Il fonde le Collectif Item en 2001. C’est cette approche qu’il va nous présenter pendant les trois premières journées de la formation.
Au-delà de principes et de conseils techniques, Franck livre beaucoup plus. Il parle intimement et sincèrement de lui. Son approche est complète : pour faire une bonne photo, le cœur, le corps et le cerveau doivent être alignés. La formation est passionnante, et de très nombreux moments me feront réfléchir. Le soir, je m’endors tard, mon cerveau étant encore complètement occupé par la formation.
Arrive le samedi, et le moment-clé de la formation : un vrai mariage. J’ai la chance de couvrir le mariage de Boris et Véronique avec Jodie, qui est une excellente photographe documentaire, mais novice en mariage, et j’ai hâte de voir son regard totalement neuf sur le même évènement que le mien.
L’avantage d’être photographe stagiaire, c’est d’avoir plus de liberté créative que d’habitude sur le mariage. Mais attention, on reste les seuls photographes de l’évènement, il faut quand même tout documenter pour le couple !
Boris et Véronique ont déjà une famille étendue, avec les deux grandes filles de Boris, témoins du mariage, et leurs deux plus jeunes enfants à eux deux.
Le mariage se déroule intégralement à deux pas de chez eux, dans leur “quartier de village” de Rueil-Malmaison. C’est très agréable de documenter ce qui est aussi leur vie locale.
Mon approche documentaire – que vous pouvez retrouver sur le site d’EIP– m’a conduit à m’intéresser à ce qui constituait une famille, recomposée dans ce cas.
Aucun doute : l’amour était fort. Les discours d’amour de Stoïane et Clotilde, le soir, m’ont fait pleurer. En écrivant ces lignes, trois mois plus tard, j’ai à nouveau les larmes aux yeux, même si le contenu du discours m’échappe désormais.
Pendant les préparatifs et l’attente devant la mairie, Franck était derrière nous deux, à nous coacher et nous proposer des idées. C’était impressionnant de voir à quel point je peux faire mieux à chaque moment ! Ou comme dirait Franck : “Push Push Push !”. J’en suis sorti un peu secoué, mais tellement motivé et confiant dans ma capacité à progresser !
Et en soirée, Jodie a été une super assistante lumière. C’est extrêmement confortable et permet de produire des images créatives beaucoup plus facilement que tout seul ! Maintenant, je crois que je veux un assistant lumière à chaque mariage.
La partie la plus dure de la formation arrive le lendemain matin, quand après une longue journée et une très courte nuit, il faut trier et traiter les photos en quelques heures, pour pouvoir discuter de l’approche documentaire avec Franck.
C’était génial, épuisant, tellement formateur, et je pense qu’on est tous rentrés chez nous avec le même état d’esprit ! Enfin, pour ceux qui ont réussi à rentrer…
Si vous êtes un confrère ou consœur curieux du WS de Franck, je serais ravi de vous en dire plus !
Le dynamisme de Franck après 5 jours de formation. Photo Olivier Bolte.
Je prends toujours du temps avant de publier mes photos de voyage. Pour que les émotions du moment disparaissent un peu, et pouvoir trier mes photos avec un soupçon de subjectivité en moins.
Mais pour l’Inde, j’ai eu besoin d’encore plus de temps. Premièrement parce que notre voyage était en Mars 2020. Partis pour 3 semaines de vagabondage entre la capitale indienne et les cités rajpoutes, l’actualité nous aura rattrapé, et forcé à revenir expressément avant la fin du séjour. Toute une aventure en soi, et du temps pour vraiment digérer ce retour et la période qui l’a suivie.
Ensuite, parce que mes attentes étaient hautes, très hautes. J’avais peur de l’Inde. Pas peur d’aller en Inde, mais peur de ne pas réussir à appréhender sa particularité, sa magnitude, ses contrastes, sa beauté, sa pauvreté. Nourri d’un imaginaire construit sur des romans d’aventure (Shantaram, Flash ou le grand voyage -aventures nécessairement différentes de l’expérience d’un backpacker aisé en 2020), du récit d’amis et même de traité psychiatrique sur le “choc de l’Inde”, mes attentes sur la folie et l’originalité du pays étaient probablement irréalistes.
Sur les deux semaines que j’y ai passé, dont la deuxième à consacrer beaucoup de temps et d’énergie à suivre l’évolution du Covid-19, je n’ai pas vécu tout ça. Je n’ai pas trouvé l’Inde vraiment différente des autres pays asiatiques où je suis déjà allé (Vietnam et Cambodge). Alors oui, la circulation est dense, la pauvreté est omniprésente, la nourriture est épicée, la pollution est partout, et il peut être assez compliqué de se faire sa place dans un train, mais malgré cela, je n’ai pas vécu la révélation mystique que j’attendais. Je suis bien conscient d’avoir eu une vision extrêmement parcellaire et superficielle de l’Inde, et si j’y ai adoré de nombreuses choses, il m’en reste un goût doux-amer. Goût que quatre mois après, je n’arrive pas à correctement appréhender.
Ce qui est sur, c’est que parmi les trucs vraiment cools en Inde, il y a le fait que les Indiens aiment bien se faire photographier dans la rue !
Charlène et Jérémy, un mariage civil à Montcharvot
Le 20 Juin 2020, Charlène et Jérémy devaient se marier devant tous leurs proches. Les évènements auront un peu compliqué leurs plans, et si la cérémonie religieuse et la fête ont été repoussées à l’année prochaine, ils ont pu célébrer leur amour à la date prévue, devant l’Etat Civil.
C’était pour moi (et pour eux !) très important d’être là ce jour là aussi, parce que c’est l’histoire de leur mariage, fut-il en deux temps.
La journée commence par les préparatifs dans leur maison de Montcharvot, dans une ambiance décontractée et déjà festive, avec leurs témoins et leurs enfants présent à leurs côtés. Cela n’empêchera pas Jérémy de vivre un moment plein d’émotions avec son témoin, alors qu’il finit de mettre sa tenue.
Ensuite, c’est à la mairie de Fresnes, où a grandi Charlène, que leur mariage a été officié devant l’État.
Après une sortie haute en couleurs, il est temps de vivre encore plein d’émotions, même si le nombre d’invités est réduit aux plus proches.
Charlène et Jérémy prennent ensuite quelques minutes pour eux, juste avec moi, pour réaliser des photos de couple et profiter de leur amour tous les deux.
Après quelques photos de groupe avec leurs proches, il est alors temps de rentrer, en prenant le soin pour le cortège de passer à Bourbonne-les-Bains, où Jérémy travaille, et dans les différents villages de la région.
Une fois chez eux, j’en profite pour réaliser quelques photos de couple en masque, qui restera un témoin majeur de 2020.
C’était un bonheur d’être avec eux pour cette journée, et il me tarde de les revoir pour la deuxième partie de leur mariage en 2021 !
Océane et Anthony, un mariage en décembre entre Spoy et Salives
Ce 21 Décembre, j’étais le photographe de mariage de ces deux amoureux, qui fêtaient déjà leurs 10 ans ensemble ! La chance pour moi de couvrir un mariage d’hiver, et de vous en parler aujourd’hui.
Malgré la date, le temps est clément et la température douce. Tant pis pour les photos de bataille de boule de neige ! Après la coiffure et le maquillage d’Océane à Is-sur-Tille, direction Til-Châtel pour photographier Anthony qui se prépare chez ses parents, avec son frère. Ces préparatifs permettent de photographier des moments d’intimité et de relations familiales très fortes, et ce sont des souvenirs qui marqueront les mariés.
Ensuite, je retourne voir la mariée chez elle, à Spoy, qui s’apprête à mettre sa première robe de chez Bouvier-Millot. Et oui, puisque après la cérémonie dans la mairie de Spoy, la mariée retournera chez elle mettre sa deuxième robe de mariée ! Deux opportunités de photographier l’habillage, une heureuse première pour moi !
Les deux jeunes mariés se sont de nouveau découverts, de nouveau avec bonheur dans la petite église de Salives. La lumière rouge de cette église a pu surprendre, mais la couleur était de saison ! Après avoir échangé leurs vœux, le couple sort au coucher de soleil, sous l’éclat des cierges pétillants et les acclamations de tous leurs amis présents pour leur mariage.
Direction ensuite la salle des fêtes toute proche, où le vin d’honneur s’est déroulé en intérieur. L’occasion de profiter de la décoration hivernale réalisée avec goût par Poudre de déco ! Après un délicieux repas rythmé par des animations dynamiques ou pleines d’émotions, il est temps de passer sur la piste de danse.
Et là, c’est la folie qui commence ! Après un début de première danse sur un rythme très classique, l’ambiance change vite quand le DJ passe au hard-style, que les mariés affectionnent tout particulièrement. L’occasion pour tout le monde de se déhancher sur un rythme effréné, et pour moi de me régaler à faire des photos de soirée pleines de dynamisme !
Vous voulez vous marier en hiver, et profiter d’une bataille de boule de neige ? Alors contactez-moi ici !
Les photographies du mariage d’hiver en Côte-d’Or
Les prestataires du mariage d’hiver en Côte-d’Or :
Célia et Romain, un mariage à Orges et Châteauvillain
C’est le 17 Août dernier que Célia et Romain se sont unis, au Moulin de la Fleuristerie à Orges, village non loin de Chaumont. C’est dans la charmante petite ville de Chateauvillain que se sont déroulées les cérémonies civiles puis religieuses.
Ni la pluie, ni le petit retard à la mairie (un grand merci à la témoin partie récupérer le bouquet au Moulin de la Fleuristerie, d’ailleurs !) n’ont pu entamer le bonheur de ce charmant couple, pétillant de joie et d’amour tout au long de la journée.
C’était une joie de pouvoir les accompagner tout au long de cette journée, eux et leurs frères et sœurs dont ils sont si proches, et dont l’unité en tant que nouvelle famille ne faisait déjà aucun doute !
J’espère avoir réussi à leur créer de beaux souvenirs, durables, de cette journée si particulière pour eux, qu’ils n’oublieront jamais.
Le moulin de la fleuristerie à Orges est vraiment un lieu charmant : c’est évidemment un moulin ancien, mais il est toujours actif. Il conçoit et produit des accessoires et des créations florales, notamment à destination de la haute couture. La roue à aube du moulin continue à alimenter en électricité la fabrication ! Merci beaucoup pour la visite ! Mais c’est surtout un superbe lieu de réception, agréablement au calme au centre de la Haute-Marne.
Mathilde et Sébastien, un mariage dans les blés murs de Juin
Pour ces deux beaux amoureux, leur mariage se devait de se réaliser dans ces beaux paysage du Morvan, avec ses champs de blé dorées gorgés de soleil. Et pour un photographe de mariage, évidemment, c’était un plaisir de photographier le Morvan.
Venus de Lille pour l’occasion, comme la plupart de leurs invités, ils ont vécu une journée de bonheur malgré la température caniculaire de ce 29 Juin à Champignolles, dans les environs d’Avallon.
Mêmes si mes chemises en ont un peu souffert, c’était un vrai bonheur de suivre ces deux jeunes amoureux toute la journée. Pouvoir vivre leurs préparatifs séparés, et surtout la robe faite par la soeur de la mariée, Louise (a dit oui). A la cérémonie religieuse, taillée à leur image, j’ai adoré en apprendre plus sur Baden Powell et les valeurs du scoutisme !
Ensuite, direction le château de Vauban -enfin un des deux, des invités ayant confondus, avant de se rendre compte que le photographe de mariage avait changé ! Un bel écrin de verdure, dont la fraîcheur rendait la journée très agréable. Pendant que le traiteur régalait nos palais et OASHA nos oreilles, j’ai pu photographier leurs amis et leurs familles, notamment pendant les très émouvants discours.
Avant de rentrer en salle et de profiter du repas puis d’une soirée endiablée, j’ai pu passer quelques trop courtes minutes à les photographier tous les deux, heureux, devant le soleil qui baissait devant ce paysage du Morvan qu’ils aiment tant.
Mon seul regret : n’avoir pas pu faire des photos de leur moulin familial. J’ai essayé, mais mon GPS en a décidé autrement.
Sébastien et Mathilde, au plaisir de vous recroiser dès l’an prochain sur de nouveaux mariages !
Si vous vous mariez bientôt, dans le Morvan, en Bourgogne, en France ou ailleurs, et que vous voulez en savoir plus sur mes photographies de mariage, cliquez ici : www.osaillard.com
Emma et Cyril, un mariage au château de Pierreclos
Le 7 Septembre, j’étais le photographe du mariage d’Emma et Cyril. Ces deux beaux amoureux se sont rencontrés au lycée, et sont en couple depuis presque ce jour là. S’ils sont de région parisienne, Cyril étant passionné d’œnologie, c’est dans un vignoble qu’il voulait célébrer leur amour.
Cyril et Emma ont eu un tous les deux un coup de cœur pour le château de Pierreclos, et moi aussi ! Ce magnifique château dans le vignoble du Mâconnais entouré de vignes se juche au-dessus du village du même nom. Le cadre parfait pour fêter son amour, s’amuser avec ses amis et déguster du bon vin.
J’ai adoré toute la journée, dès les préparatifs d’Emma dans sa suite en haut de la tour, et de Cyril dans une autre aile du château. Julie et Jessica ont réalisé un travail fabuleux pour le maquillage et la coiffure de la mariée, mais aussi des témoines et des mères. Pour moi, c’est un véritable privilège de pouvoir assister à ces moments si forts entre des proches, surtout quand les garçons sont généralement interdits.
Une séance premier regard forte en émotions
Une fois apprêtés et en tenue, ils se découvrent sur la terrasse du château, devant un superbe paysage viticole. L’émotion est au rendez-vous !
S’ensuit la cérémonie religieuse à l’église de La Roche Vineuse, où ils rentrent au bras l’un de l’autre, accompagnés par la musique de leurs amis de la chorale.
Ces même amis leurs avaient organisé un flash mob surprise, qui a profondément touché le jeune couple.
Après un très bon repas animé par les discours émouvants de leurs parents, et plus drôles de leurs amis, la soirée commence et … c’est la folie ! Une super ambiance, des invités à fond, un photographe qui danse aussi de tout ce qui lui reste son énergie. Et des photos cools 🙂
Merci encore pour m’avoir fait confiance, j’ai passé un superbe mariage à vos côtés, et je crois n’avoir jamais autant fatigué mes jambes sur un dancefloor !