Originaire du Bassin d’Arcachon, c’est après des séjours à Saint-Étienne, Berlin et Bratislava que je m’installe à Langres. Alors, certes, techniquement cette petite ville de Haute-Marne appartient au Grand-Est, mais elle est idéalement située pour que je couvre votre mariage en Bourgogne, en France, ou dans le monde entier.
Aventurier dans l’âme, je connais Berlin comme ma poche, j’ai un passeport brésilien et j’ai appris à négocier en khmer avec les tuk-tuk de Phnom Penh. Je suis donc prêt pour photographier vos aventures quelles qu’elles soient !
Ingénieur de formation, je savais depuis longtemps que la photographie serait mon métier. J’assiste en 2017 au mariage d’un camarade de promotion. La suite s’impose, comme une évidence : je serai photographe de mariage.
J’aime les gens. J’aime vous voir heureux. J’aime vous voir partager ces moments forts et sincères avec vos amis, vos parents, vos proches. J’aime les photographier. J’aime cette spécialité si exigeante, qui me permet à la fois d’exprimer mon art et ma technique et de vivre toutes ces émotions avec vous.
J’ai vraiment de la chance d’être photographe de mariage.
L’erreur sur mon prénom ? Classique. Si vous m’appelez correctement dès le premier essai, je peux vous assurer que cela me fera plaisir !
Le prénom sonne anglo-saxon, mais il me vient pourtant de ma mère brésilienne, pays où les prénoms sont souvent originaux : elle aurait pu m’appeler Ludwig von Beethoven ou Alain Delon, j’ai évité le pire. Si j’avais cru qu’en vivant à Berlin, les allemands ne se tromperaient pas, c’était sans compter les berlinois tout fiers de savoir : « Ach, Olivier en France ! »
En tout cas, ces expériences font que je parle couramment anglais, allemand, et portugais du Brésil.
Je joue au tennis, fais du vélo (beaucoup moins que ce que j’aimerais), je suis fan des Sixers et de l’équipe de France de biathlon, je me suis mis aux échecs après avoir regardé The Queen’s Gambit, j’adore cuisiner (surtout pour ma femme), lire de la fantasy (Katz ou Jaworski, ça vous parle ?) et des livres de Piketty, danser jusqu’à midi dans une boîte berlinoise, jouer à des jeux de société (4 Gods, RFTG), ajouter des parenthèses dans mes phrases, lire des livres photos, regarder des photos. Et surtout faire des photos.
ans
langues parlées couramment
au tennis
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